cecile.r

Tout comportement est bon..

encore faut-il qu\’il le soit dans le bon contexte !

Reprenez votre journée d\’aujourd\’hui :

Comment vous êtes-vous comporté dans les domaines :

Sentimental
Avez-vous montré des marques d\’attention ? Avez-vous apprécié chaque minute avec l\’être aimé en imaginant que demain il pourrait ne plus être là ?

Familial
Qu\’avez-vous apporté à vos enfants, à vos parents, à votre fratrie aujourd\’hui ? Et que vous ont-ils apporté ?

Professionnel
Cette journée vous a-t-elle enrichi ? Avez-vous pris des initiatives ? Qu\’est-ce qui a été reconnu ?

Bien-être
Avez-vous pris quelques minutes pour vous ? Pensé à respirer ? A vous recentrer ?

Sportif
Avez-vous bougé ? Fait palpiter votre coeur, circuler fort votre sang, respiré à pleins poumons ?

\”Etc., etc., etc.\” comme l\’a joliment dit Yul Brinner :

Et si vous avez bien fait tout ça mais dans le mauvais ordre, genre :

– Montré des marques d\’attention à votre employeur mais pas à votre conjoint

– Enrichi votre conjoint mais pas votre bien-être

– Joué avec votre respiration mais pas avec vos enfants

– Etc., etc., etc.

Alors pensez à aligner vos attitudes aux contextes de votre vie 🙂

 

Avez-vous conscience de l\’impact de votre langage ?

(Pour ceux qui comprennent l\’anglais)

Belle démonstration de la puissance du langage (ici, au niveau de l\’épargne ; tout en sachant que cela concerne TOUS les niveaux de notre vie; et que cela concerne AUSSI notre dialogue intérieur !)

PS. D\’où l\’acronyme PNL (Programmation neuro-linguistique) : à nous de choisir des mots porteurs au niveau émotionnel, CQFD

Le pont suspendu et la mongolfière pour arrêter de fumer !

Quel rapport vous demandez-vous ? Voici donc la petite histoire :

Dans quelques jours, je me rends chez un hypnothérapeute pour essayer d\’arrêter de fumer ; comme cela m\’inquiète un peu (pas l\’hypnose mais bien le fait d\’arrêter !), j\’ai décidé de me préparer.

Je me suis donc autohypnotisée puis ai laissé venir les symboles que mon inconscient me proposait pour cette problématique.

J\’ai alors vu devant moi un gouffre que traversait un pont suspendu. Image difficile (car je crains le vide) et qui n\’était pas faite pour me rassurer sur le chemin à parcourir !

Toujours en autohypnose, j\’ai décidé de travailler en métaphore ouverte (cf. explication dans l\’onglet Boîte à outils) :

Je me suis d\’abord vue marcher le long du gouffre pour trouver une autre voie mais mon esprit me ramenait toujours devant ce pont suspendu. J\’ai alors \”accepté\” cette image qui m\’était désagréable et… une magnifique mongolfière colorée a alors fait son apparition juste à côté de moi ! (J\’ai un excellent souvenir de mon réel voyage en mongolfière.)

Je me suis donc imaginé y monter et pour l\’alléger au maximum, j\’ai jeté par-dessus bord dans un conteneur resté à terre toutes les cigarettes, les mégots, les paquets vides, les cendriers de ces 30 dernières années : De plus en plus légère, la mongolfière s\’élevait de plus en plus haut et c\’était magnifique !

En même temps m\’est revenu en tête un vieux rêve : celui d\’apprendre à jouer du saxophone et… toute heureuse dans ma mongolfière, j\’ai décidé que tout ce que j\’avais aspiré en fumée et bien je le soufflerais à l\’avenir dans mon saxo pour en faire de belles notes !

Puis ma mongolfière et moi nous sommes posées en douceur de l\’autre côté du gouffre d\’où j\’étais heureuse de voir mon passé de fumeuse resté du côté opposé et d\’où, me tournant dans l\’autre direction, je voyais une Cécile de l\’avenir me féliciter de loin pour avoir réussi ce défi 🙂

Analysant après coup cette métaphore ouverte, j\’ai trouvé très intéressant le parallèle de la mongolfière qui s\’allège en jetant tout ce qui concerne les cigarettes puisqu\’une de mes peurs en arrêtant de fumer est… de prendre du poids ! Le fait de remplacer \”avaler de la fumée toxique\” par \”souffler de belles notes de musique dans mon saxo\” montre aussi parfaitement comme notre esprit aime jouer avec les symboles lorsque nous le lui permettons !

Je serai prolixe sur mon succès et discrète sur mon échec dans la poursuite de ce but : Devenir non-fumeuse 🙂

\"P1180430\"

 

Quelques trucs simples pour être plus productif !

Très joliment expliqué dans cette petite video (traduction des points forts ci-dessous) :

1) Votre volonté n\’est pas suffisante (elle mène à un épuisement de l\’ego)

2) Lancez-vous !

3) Morcelez un gros travail en petites tâches !

4) Vous vous souviendrez mieux d\’une tâche que vous aurez interrompue : cela créée une tension qui vous donnera envie de la terminer.

5) Travaillez en étant motivé !

6) Alternez les phases de travail intense (90 mn) avec des pauses (15-20 mn)

7) Créez-vous un emploi du temps que vous vous tiendrez en vous imposant des délais (dans un agenda, calendrier, etc.)

8) Evaluez vos avancées sur un tableau (par ex. 9-10h30 : 1eres recherches / Commencé table des matières – 11-12h30 : – Table des matières terminée / Commencé introduction).

9) Bannissez le multi-tâches : cela vous rend beaucoup moins productif !

10) Ecrivez chaque soir les tâches prévues pour le lendemain : Ce sera votre plan d\’action !

Logiques, les niveaux logiques ?

Voyons-les comme une tour, à l\’intérieur de nous, composée de six niveaux 

\"niveaux

 

6e niveau : notre Spiritualité/Mission/Appartenance

5e niveau : notre Identité

4e niveau : nos Valeurs/Croyances

3e niveau : nos Compétences

2e niveau : nos Capacités

1er niveau : notre Environnement

En voici les principes :

 * Chaque niveau ne peut être modifié que par un niveau qui lui est supérieur.

* Plus nous sommes « alignés » entre ces différents niveaux et plus nous sommes en accord avec notre vie.

* Plus nous sommes conscients de ces différents niveaux et plus nous pouvons traiter chaque nouvelle information au niveau qui est le sien et en cohérence avec les autres.

* Plus nous sommes conscients de ces niveaux et plus nous pouvons nous amuser à sauter entre les différentes marches de cet escalier.

Exemple pour une prise de décision :

« Suis malheureux dans mon couple, aimerais divorcer et commencer une nouvelle vie »

Questions à se poser :

Niveau 1 Environnement

« Est-ce faisable ? Par-rapport à mes enfants, mon épouse, mes moyens financiers, ma santé, mon travail, ma famille, etc. ? » Si non, occupons-nous de ce niveau ; si oui, passons au :

Niveau 2 Capacités

« Suis-je à même de comprendre tout ce que cela va entraîner ? Suis-je assez solide pour effectuer un changement aussi radical ? Suis-je certain d\’être capable de m\’en sortir (de nous en sortir) à moindre mal ? » Si oui, passons au :

Niveau 3 Compétences

« Est-ce que je sais comment m\’y prendre pour faire comprendre cela à mon épouse, à mes enfants, à ma famille ? En ai-je les moyens financiers et saurai-je faire avec ? » Si oui, passons au :

Niveau 4 Valeurs et Croyances

«  Suis-je certain d\’en être capable ? Est-ce que je pense qu\’enfants et épouse eux aussi pourront s\’en relever ? Et si ce n\’était pas le cas, serais-je alors prêt à assumer cette décision ? Est-ce que – quoi qu\’il arrive -. je saurai que c\’était la meilleure décision à prendre ? » Si oui, alors :

Niveau 5 Identité

« Est-ce bien en accord avec qui je suis ? Avec l\’image que je me fais de moi ? Pourrai-je me regarder dans le miroir demain ? » oui ? Alors :

Niveau 6 Spiritualité

« Ma foi, ma croyance, ma religion est-elle en accord avec cette décision ? »

Exemple pour un « jugement » :

« Cette caissière est vraiment incapable, ça m\’insupporte : je l\’éviterai à l\’avenir ! »

Niveau 1

« C\’est peut-être dû à l\’environnement de fous dans lequel elle travaille finalement… »

Niveau 2

« La pauvre, peut-être qu\’elle ne supporte pas le stress… »

Niveau 3

« Bon, c\’est vrai, le français n\’est pas sa langue maternelle… je pourrais au moins lui dire bonjour dans sa langue »

Niveau 4

« Si elle se fout des clients, elle devrait se trouver un autre job… mais en fait… peut-être qu\’elle a essayé et n\’en a pas trouvé… »

Niveau 5

« C\’est vrai que ce ne doit pas être très valorisant et enrichissant comme métier… »

Niveau 6

« La prochaine fois, je la surprendrai avec un petit cadeau, ça lui rendra sa journée plus facile et elle sera certainement plus agréable avec ceux qui me suivront, qui eux deviendront plus agréables avec ceux qu\’ils croiseront ! »

Comme vous l\’avez certainement constaté avec ces deux exemples, prendre le temps de passer par ces niveaux permet d\’avoir une vue plus claire d\’une problématique, d\’un jugement, d\’un contexte, ou de quoi que ce soit d\’autre !

Cela permet aussi de « travailler » au niveau  correct (Ex. 1 : « Si je ne crois pas en moi, à quoi me sert de divorcer : les problèmes ne feront que s\’accumuler ! J\’ai d\’autres choses à régler avant ! » Ex. 2 : « Quand je disais qu\’elle était incapable, je pensais à son identité – niveau 6 – mais peut-être que le problème se situe à un autre niveau… »)

C\’est un exercice que j\’aime faire à l\’aide de bouts de papier disposés sur le sol (chacun représentant un niveau), mon client s\’amuse alors à passer de l\’un à l\’autre et à apprendre à se poser les bonnes questions, jusqu\’à ce que ça fasse « tilt » et alors cela devient vite une habitude qu\’il peut pratiquer seul !

Alors, prêts à essayer?!

Remercions G. Bateson qui les a créés pour le domaine de l\’apprentissage puis R. Dilts qui en a fait une technique PNL.

L\’hypnose : une porte pour guérir, une porte pour éloigner la souffrance

Extraits de deux petits livres qui sont des bijoux et qui nous en apprennent beaucoup sur la façon dont fonctionne l\’hypnose :

\”Je dois à François Roustang la découverte de l\’hypnose. Il m\’a révélé 1° qu\’elle n\’est pas ce qu\’on croit (un moyen de manipulation), ni ce que son nom suggère (une sorte de sommeil), 2° qu\’elle englobe des phénomènes qui sont fondamentaux et universels, mais que les idées qui dominent la culture européenne depuis la seconde moitié du XIXe siècle ont rendus étranges et inquiétants, parce qu\’intellectuellement inassimilables*. […] \”Il y a plus de choses au ciel et sur terre que ne l\’imagine notre philosophie\”, disait Hamlet.* L\’étude de l\’hypnose m\’a convaincu qu\’il se produit plus de choses dans le corps que n\’en peut concevoir notre esprit […]\”

[…] L\’aptitude à laisser agir le corps varie beaucoup. Certains en sont incapables alors qu\’ils en auraient le plus grand besoin, losqu\’en eux des forces se combattent et se paralysent. Ils souffrent, l\’angoisse les étreint, mais la peur les empêche de se laisser aller et de confier au corps le soin d\’accorder ces forces, aux prix des remaniements nécessaires. Le remède qui leur manque est toujours le même : retrouver le contact avec les pouvoirs du corps. Le meilleur moyen de les aider est de les accompagner dans cette descente qui les effraie. La présence d\’un compagnon exercé dans cet art de l\’ouverture vers le bas et qui l\’accomplit à leur côté, les rassure et leur donne la confiance nécessaire. Après quelque temps et parfois très vite, le changement s\’amorce et mène à la transformation salutaire. […]

Jean François Billeter, Un paradigme, éd. Allia, Paris, 2012

[…] Le processus de l\’hypnose donne un accès possible à plusieurs portes vers la guérison. Elles sont un prétexte pour aborder les différents aspects de l\’hypnose, seule thérapie qui permette de jouer avec toutes ces dimensions : le temps, l\’espace, le virtuel, le corps et ses symptômes. […]

[…] Nous choisissons par l\’hypnose de porter attention au corps. Il s\’agit d\’une nouvelle écoute que nous suggérons à nos patients, inhabituelle, j\’en conviens, mais qui facilite étonnamment la défocalisation pour accéder à une nouvelle focalisation, cette fois porteuse d\’ouverture. Nous l\’appellerons la \”porte du corps\”.

La porte évoque métaphoriquement à la fois une entrée et une sortie, l\’entre-deux de la fermeture à l\’ouverture, voire l\’obstacle, lorsqu\’elle est fermée. Elle symbolise à sa façon et dans sa polysémie l\’un des possibles chemins de l\’hypnose. Car celle-ci intervient et joue son rôle justement lorsque l\’on imagine que les portes sont fermées, des chemins sans issue, allant parfois même jusqu\’à un sentiment d\’emmurement dans ce \”no future\” trop souvent vécu par les traumatisés et les dépressifs. Une sorte de prison dont on ne voit que les barreaux, et dont la porte, quand elle est mentalement présente, est lourde et fermée. Pourtant, en regardant au-delà des barreaux, il y a une lumière, un ciel… et même s\’il est nuageux, derrière les nuages, il est bleu !

Dr Jean-Marc Benhaiem avec François Roustang, L\’hypnose ou Les portes de la guérison, éd. Odile Jacob, Paris, 2012

En souhaitant que cela vous inspire et vous donne confiance afin que vous vous offriez ce magnifique cadeau qu\’est l\’hypnose : Une simple porte – tout à fait confortable et sécurisée –  qui vous ouvre à de nouveaux chemins de perception…

\"portes

Et si plutôt qu\’une résolution, on s\’offrait un cadeau ?

\"accordsMiguel Ruiz, Les quatre accords toltèques, éd. Jouvence

En bref, à quoi servent-ils réellement ? A nous amener à être en pleine conscience !

Afin que nos comportements découlent de nos pensées et non de nos émotions, afin que nous choisissions les pensées et comportements qui non seulement nous feront du bien, à nous et aux autres mais surtout ne nous feront pas de mal, ni à nous ni aux autres.

Top, non ? Oui ! Ca, c\’est la bonne nouvelle 🙂 La mauvaise est que ce n\’est pas gagné, ils se méritent !

Voici ce que j\’en tire après quelques douze ans de pratique (plus ou moins intensive, plus ou moins quotidienne, plus ou moins réussie) :

Premièrement, ils ne sont pas d\’abord et d\’habitude faciles même si chacun d\’eux peut se résumer en deux lignes ! Car – pour comprendre leur utilité et plus encore pour réussir à les appliquer, il est nécessaire d\’avoir fait un travail sur soi ou de le faire simultanément (que ce soit par son développement personnel, ses expériences de vie, un goût pour la philosophie, une thérapie, etc.)

Ensuite, lorsque enfin, nous les avons compris et intégrés, nous continuons à être des individus ayant des émotions, des pulsions, des pensées pas toujours positives, peut-être même des maladies, et qui avons à gérer un quotidien : 365 jours et nuits par an, ce n\’est pas rien, n\’est-ce pas ?!

 Ce qui nous rend la chose d\’autant plus difficile lorsque par exemple :

On apprend qu\’on est viré ! Ou qu\’on nous a trompé ! Qu\’on reçoit un 3e rappel pour facture impayée ! Qu\’on n\’a pas de quoi s\’offrir des vacances ! Que Junior nous épuise ! Qu\’Ado n\’est toujours pas rentré alors qu\’il est déjà minuit et que (*#%#*) on aimerait bien aller dormir !  Etc., etc.

🙁

Oui… difficile ! Et pourtant, cela nous amène à relativiser, à nous détacher et donc à vivre plus harmonieusement 🙂 

Magique ? Oui 🙂

Comme le dit Ruiz : « Je fais de mon mieux… pas plus… pas moins… à partir de là je n\’ai rien à me reprocher ! »

Et si je n\’ai rien à me reprocher et que je ne suis pas content… alors il va me falloir prendre une décision :

Je suis viré ?! – accords 1 à 4 à appliquer tout de suite – Ok, qu\’est-ce que je fais à partir de là ?

Mon conjoint m\’a trompé ? – accords 2 et 3 – Ok, comment je décide de gérer ça ?

Je reçois une sommation pour facture impayée ? – accords 3 et 4 – Ok, quelle solution se dessine ?

On n\’a pas de quoi nous offrir des vacances ? – accords 3 et 4 – Si on échangeait notre appartement avec des amis ?

Junior nous épuise ? – accords 1 à 4 – Et si je le laissais, lui, s\’épuiser ? Si je mettais des boules quiès ? Et si on allait bien se fatiguer dehors ensemble avant de rentrer nous reposer ?

Ado n\’est toujours pas rentré alors qu\’il est déjà minuit ? – accords 2, 3, 4 – Finalement, s\’il est dehors, c\’est que je l\’ai laissé sortir, non ?! Alors pourquoi je n\’assumerais pas le fait de l\’avoir laissé sortir et qu\’il est assez grand pour se débrouiller et m\’informer s\’il y a un problème ?

Pas évident de passer de la théorie à la pratique, n\’est-ce pas ?

D\’autant plus que nos émotions passent par un circuit neuronal extrêmement rapide (système nerveux limbique), beaucoup plus rapide que ne l\’est celui de notre pensée.

Il y a différentes façons de les court-circuiter : Du  « Stop, nous en parlerons plus tard », à une bonne respiration pendant quelques minutes, en passant par un jogging, ou une discussion avec un ami… Ces émotions ont en fait une durée de vie très courte : si après quelques minutes, nous sommes encore triste ou en colère, c\’est parce que nous avons décidé de le rester.

Finalement, ces accords sont un magnifique cadeau que nous pouvons nous offrir – à nous, à notre vie et à notre entourage !

Il s\’agit d\’essayer jour après jour de les appliquer  jusqu\’à ce qu\’à force, nous nous réveillions un jour en nous apercevant qu\’ils font partie de nous !

L\’important est l\’élan vers l\’objectif ! Vouloir atteindre la cible 🙂

\"archer\"

Alors, prêts à essayer ?

Une vraie leçon de vie !

(en anglais puis en français)

 Autobiography in five chapters (Portia Nelson)

 1. I walk down the street – There is a deep hole in the pavement – I fall in – I am lost… I am helpless – It is not my fault – It takes forever to find a way out.

 2. I walk down the same street – There is a deep hole in the pavement – I pretend I do not see it – I fall in again – I cannot believe I am in the same place – But it is not my fault – It still takes a long time to get out.

 3. I walk down the same street – There is a deep hole in the pavement – I see it is there – I still fall in… it is a habit – My eyes are open – I know where I am – It is my fault – I get out immediately.

 4. I walk down the same street – There is a deep hole in the pavement – I walk around it.

 5. I walk down another street.

* * *

 Autobiographie en cinq courts chapitres

 1. Je marche dans la rue – Il y a un grand trou dans le trottoir – Je tombe dedans – Je suis perdu… je me sens démuni – Ce n\’est pas de ma faute – Ca me prend beaucoup de temps pour en sortir.

2. Je marche dans la même rue – Il y a un grand trou dans le trottoir – Je fais comme si je ne le voyais pas – Je tombe à nouveau dedans – Je ne peux pas croire que je me retrouve au même endroit – Ce n\’est pourtant pas de ma faute – Ca me prend à nouveau du temps pour en sortir.

 3. Je marche dans la même rue – Il y a un grand trou dans le trottoir – Je le vois – Je tombe quand même dedans… c\’est devenu une habitude – Mes yeux s\’ouvrent – Je vois où je me trouve – C\’est ma faute – Je sors aussitôt du trou.

 4. Je marche dans la même rue – Il y a un grand trou dans le trottoir – Cette fois, je le contourne.

5. Je choisis une autre rue.

* * *

\”Une carte n\’est pas le territoire\”

\"Carte

L\’une des premières choses que j\’ai apprises lors de ma formation en PNL a été « Une carte n\’est pas le territoire »… A l\’époque, j\’ai mis du temps à comprendre ce que cela voulait dire malgré les différentes explications que l\’on m\’en donnait !

Et puis, un beau jour, j\’ai enfin réellement compris et accepté ce que cela voulait dire, et, pour moi, cela a été une révélation !

Car j\’ai compris à cet instant que cela me donnait la liberté et le pouvoir d\’agir sur mes comportements, mes pensées et ma vie (!) puisque – en fin de compte -, ma vie dépend de la façon dont je la perçois !

Voici maintenant une quinzaine d\’années que je décide – chaque jour – de penser, de voir, de ressentir, d\’entendre et de goûter à ce qui me convient ; de partager avec ceux qui partagent les mêmes valeurs, de choisir avec qui je passe du temps, et de fonctionner selon ce qui est important pour moi.
Et pour tout ce qui ne rentre pas dans ce cadre-là mais dont il faut bien que je m\’accommode, alors je fais en sorte de pouvoir le traverser et l\’accepter avec un moindre mal. Facile ? Certainement pas ! Nécessaire ? Evidemment !

Bilan :
La sensation que ma vie m\’appartient… et qu\’en général je me trouve au bon endroit, au bon moment, avec les bonnes personnes et avec la bonne attitude. La certitude de faire les bons choix, de rencontrer des personnes qui enrichissent ma vie, et dont j\’enrichis la leur.
La sensation de faire au mieux, qui entraîne, elle, du « toujours mieux » dans ma vie.

Conclusion :
J\’aime à dire que la vie est bien plus coquine que ce nous sommes capables d\’imaginer qu\’elle peut l\’être, et que… si nous lâchons prise de ce que nous ne pouvons contrôler tout en restant maîtres de nos perceptions, alors elle nous ouvre grand les bras.

Je n\’ai pas besoin de preuve, je me donne les moyens de vivre cela chaque jour 🙂

Et vous, avez-vous déjà essayé d\’utiliser votre GPS autrement ?

Ce site web en fait une belle analyse (bien qu\’elle ne concerne pas du tout le domaine thérapeutique)

http://aurelien.barbier-accary.info/web-sig/la-carte-n-est-pas-le-territoire/

Cadeau : Séance d\’auto-hypnose !

Voici une séance aussi courte qu\’efficace 🙂

Téléchargement direct du fichier .mp3 : autohypnose.mp3

Vous pouvez l\’écouter lors d\’une petite pause dans votre journée ou à tout autre moment qui vous convient ; pour cela assurez-vous de 20 minutes de tranquillité absolue dans un endroit où vous êtes confortablement installé (15 mn de séance + 5 mn pour un retour agréable).

Lors de la première écoute, munissez-vous de quoi écrire. Dès la 2e écoute, vous l\’aurez fait avant et vous rendrez donc directement à 1 mn 50 s. pour vous laisser porter.

Une précision  :

Nous engrangeons de l\’information à partir de nos cinq sens : les yeux (visuel), les oreilles (auditif), le toucher et le mouvement (kinesthésique), la bouche (gustatif) et le nez (olfactif).

Certains d\’entre nous privilégient le canal visuel, d\’autres le canal auditif, et d\’autres encore le canal kinesthésique (nous utilisons tous les 2 derniers canaux aussi mais de moindre façon en général).

Selon le canal que nous privilégions, nous avons tendance à fonctionner intérieurement par des images et des couleurs (visuel), des sons, des musiques et des dialogues (auditif) ou par des sensations (kinesthésique).

Les symboles qui en découlent dans notre imagination, dans nos rêves et en état de transe diffèrent donc d\’une personne à une autre.

C\’est pourquoi, les trois sont mentionnés dans la séance.

Choisissez donc votre canal préféré quand vous débutez puis sentez-vous libre au fil des séances d\’y ajouter un ou plusieurs autres canaux afin de rendre votre séance encore plus efficace.

Lorsque vous aurez écouté cette séance plusieurs fois, vous n\’en aurez plus besoin ! En effet, non seulement vous aurez expérimenté l\’état de transe mais de plus vous saurez l\’adapter à vous-même et à vos besoins du moment.

Bonne écoute et surtout… belles découvertes sur vous-même et vos capacités insoupçonnées 🙂

PS. Vos commentaires sont toujours les bienvenus (sur le site ou par courriel) : ils me permettent d\’améliorer ces séances, et d\’en faire profiter un maximun de personnes.

Si vous désirez recevoir cette séance (ou la séance \”Ressources\”) au format mp3, envoyez-moi un courriel faisant part de votre intérêt et je vous la mettrai à disposition via Dropbox.

Un mot sur les symboles ci-dessous : ils signifient que ce travail est publié sous licence \”Creative Commons\”; c\’est-à-dire que cette séance peut être utilisée, partagée et distribuée à condition que sa source soit expréssement mentionnée (donc ce site) et que ce ne soit pas pour des vues commerciales.

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