Cécile

Renforcer la confiance en soi et l’estime de soi grâce à l’hypnose

Mais qu’est-ce que la confiance en soi ? Et en quoi l’hypnose peut-elle renforcer cette fameuse confiance en soi ?! C’est ce que j’aimerais vous partager dans cet article.

Confiance en soi ou estime de soi ? Telle est la différence !

Avant d’en venir aux bienfaits de l’hypnose, il est important de comprendre de quelle différence il s’agit :

La confiance en soi est reliée à ce que nous pensons de nos capacités et compétences : « J’ai envie, je veux, je suis capable,  je me donne les moyens de…  » ou – au contraire – « Je n’y arrive pas, je n’en suis pas capable, je n’ose pas… », les étapes sont généralement les suivantes :

L’estime de soi, elle, est reliée à l’image que nous nous faisons de nous-mêmes  via ce qui est ressenti comme un jugement de la part des autres : « Suis-je légitime pour cela ? Est-ce que je le mérite ? Est-ce que je le vaux ? Puis-me le permettre, me donner cette permission ? » ou – au contraire – « Ils savent que je suis une imposture… que je n’en suis pas capable… que je n’en vaux pas la peine… »

Et c’est ainsi que certaines personnes – parce qu’elles ont confiance en soi -, atteignent leurs objectifs alors que d’autres – manquant d’estime en soi – ne se sentent pas légitimes même si elles ont atteint leurs objectifs !

Exemples « C’est comme si… » :

Un sprinter aurait confiance en lui mais ne s’estimerait pas : Il gagnerait peut-être la course mais cela ne le rendrait pas heureux car il se dirait « C’est X qui l’aurait mérité, il a mieux couru que moi, j’ai juste eu de la chance cette fois-ci… »

Un autre s’estimerait mais n’aurait pas confiance en lui, et quel que soit son résultat, il se dirait : « J’ai essayé, j’ai fait au mieux… Un autre a été meilleur que moi… Je ferai mieux la prochaine fois ! »

Un sprinter qui aurait confiance en lui et s’estimerait se serait donné les moyens pour avoir le meilleur résultat à ce moment-là et en serait fier « Yes, j’ai réussi ! Je peux faire mieux la prochaine fois mais je suis déjà très heureux de ce résultat ! »

Hypnose, confiance en soi et estime de soi

Et c’est dans les deux premiers cas qu’intervient l’hypnose comme un extraordinaire outil !

Le praticien commence par faire une cueillette d’informations pour comprendre quelle est l’expérience racine qui fait que quelqu’un n’a pu prendre confiance en soi ou a perdu son estime de soi.

Puis, une fois son patactif en transe et via des suggestions adéquates – accompagnées ou pas de phénomènes hypnotiques -, il va lui permettre de déconstruire l’empreinte neuronale[1] inconsciente liée à cette expérience et d’en construire une plus porteuse. Ce qui aura évidemment d’importantes conséquences positives dans les pensées, les ressentis et les comportements liés à la confiance en soi ou à l’estime de soi.

Ainsi, en remodelant le ressenti des expériences qui ont limité une bonne estime de soi tout en amplifiant les réussites qui ont amené à une confiance en soi, l’hypnose permet de créer de nouveaux départs J !

Je vous propose de découvrir l’étude de cas ci-dessous : Il s’agit d’une adolescente que j’ai vue lors d’une seule séance de 90 minutes, et qui – très perfectionniste – se mettait beaucoup de pressions au quotidien et voulait s’en libérer.

Comme le perfectionnisme est un mécanisme de défense face à la peur de ne pas être à la hauteur, il est directement lié à la confiance en soi et l’estime de soi : https://www.sigmasolutions.me/debloquer-la-creativite-adolescente-grace-a-lhypnose-et-au-clean-language-une-exploration-avec-cecile-wyler

Vous découvrirez ainsi comment l’hypnose peut totalement modifier un besoin de perfectionnisme en une estime de soi et une confiance en soi assez grandes pour prendre la vie avec curiosité et comme un voyage, et non comme une obligation J

One love, Cécile

[1] ou Engramme

La PNL dans la résolution de conflits

La PNL propose des outils très intéressants dans la résolution de conflits qu’il s’agisse de conflits internes ou externes, autant dans le domaine professionnel que personnel, avec deux ou plusieurs parties prenantes.

En effet, les outils PNL permettent d’établir, dès le départ, une cohésion d’équipe qui va être porteuse, ce qui va améliorer la productivité sans épuiser l’équipe ou la personne, et garantir ainsi un projet réussi – ou un mieux-être – s’il s’agit d’une personne et de ses parties internes en conflit !

Pratiquement, quels outils propose la PNL ?

Nous retrouvons la communication verbale avec la calibration, la reformulation, le recadrage ainsi que l’utilisation des questions propres et du Méta-modèle.

En tant que communication non-verbale, la synchronisation, le rapport et « l’alliance thérapeutique » sont indispensables.

Au niveau des fondements PNL, on retrouve

Enfin, il reste des protocoles tels que les Positions perceptuelles, la Ligne du temps, la Ré-empreinte ou encore le Processus d’intégration des parties (en conflit). Nous allons détailler ce dernier ci-dessous.

 

Protocole du processus d’intégration des parties internes (en conflit)

Ce protocole, créé par Robert Dilts[1], a tout d’abord été développé pour régler des conflits internes, tels qu’une problématique due à des croyances. Celles-ci générant chacune et simultanément un comportement différent, conduisant à une double contrainte et laisse ainsi le sujet sans solution.

Ces croyances conflictuelles amènent alors à des auto-jugements limitants au niveau de sa propre identité.

On comprend bien ainsi l’importance de ce protocole PNL pour une bonne estime de soi[1] !

Ce protocole est disponible ici : https://wikipnl.fr/index.php?title=Int%C3%A9gration_de_syst%C3%A8mes_de_croyances_en_conflit

Vous ne connaissez pas la PNL et/ou ce protocole, on peut le résumer ainsi en langage commun :

[1] Pour en apprendre plus sur cette thématique, rendez-vous sur l’article précédent « Renforcer la confiance en soi et l’estime de soi grâce à l’hypnose »

Robert Dilts – qui a, par la suite, élargi sa réflexion sur le sujet de la résolution de conflits – a ainsi permis à la PNL de devenir un socle de la résolution de conflits en maximisant les avantages d’une gestion préventive et d’une résolution collaborative et assurer ainsi la réussite d’un projet en systémique ou un mieux-être individuel !

One love, Cécile

[1] https://www.wikipnl.fr/index.php?title=Robert_Dilts

Se débarrasser des addictions avec l’hypnose

Qu’est-ce qu’une addiction ?

« D’un point de vue scientifique et médical, les addictions sont des pathologies cérébrales définies par une dépendance à une substance ou une activité, avec des conséquences délétères.

Les addictions concernent le tabac (nicotine), l’alcool, le cannabis, les opiacés (héroïne, morphine), la cocaïne, les amphétamines et dérivés de synthèse. Parmi les addictions sans substance, seul le jeu pathologique (jeux de hasard et d’argent) est cliniquement reconnu comme une dépendance comportementale dans les classifications diagnostiques internationales (DSM 5). »[1]

Que peut apporter l’hypnose aux traitements des addictions ?

L’hypnose permet de faire de grands changements à l’intérieur de quelqu’un grâce aux suggestions et phénomènes hypnotiques adéquats. En effet, cet état amplifié de conscience va court-circuiter les limitations de l’ego et permettre d’installer ou amplifier des ressources internes, de modifier l’image que se fait la personne d’elle-même et de sa relation avec une substance ou une activité.

[1] Source : https://www.drogues.gouv.fr/quest-ce-quune-addiction
[2] Source : https://stock.adobe.com/ch_fr/contributor/211199957/cevmemories

 

Et concrètement, comment cela se passe entre hypnose et gestion des addictions ?

La première chose à faire est d’aller vérifier la motivation de la personne. Si elle est forte « Mon médecin m’a dit que je n’en ai pour plus très longtemps si je continue ainsi, et moi je veux profiter encore longtemps de mes petits-enfants ! », il s’agit d’un levier de changement présent et porteur ! Si la motivation est faible « C’est ma femme qui m’envoie pour que j’arrête de fumer mais… je ne suis pas convaincu ! », alors il s’agira de travailler tout d’abord sur la motivation avant quoi que ce soit d’autre !

Ensuite, personnaliser son accompagnement – ne PAS utiliser de script hypnotique ! Il est donc très important que l’accompagnant aille explorer avec son patactif[1] son histoire, ses hauts et bas, ses fragilités et forces, son parcours, ses déclencheurs, et ceci dans tous les contextes de sa vie.

Puis il est nécessaire pour l’accompagnant de comprendre qu’une addiction amène à une dissociation chez son patactif : Il y a les moments où la personne fume, boit, sniffe, joue, etc. et les moments où cette même personne ne fume pas, ne boit pas, ne sniffe pas, ne joue pas, etc.

Et il est donc indispensable de travailler avec ces deux parties ! Pour qu’elles puissent se découvrir, s’apprivoiser, comprendre les besoins de l’une et de l’autre, s’accepter, se soutenir et finalement œuvrer ensemble à la bonne évolution de la personne.

Le travail sur les sous-modalités est également impératif : « Quelle est la marque de cigarettes avec laquelle tu as commencé ? » pour aller changer ces sous-modalités.

Finalement, les futurisations – particulièrement aux niveaux Sens/Essence et Identité[2] – sont très importantes car il est important de donner un GPS au cerveau de notre patactif pour qu’il puisse se projeter : Qui et que seras-tu quand tu ne fumeras plus, ne boiras plus, etc. ? Que feras-tu dans ces futurs moments durant lesquels tu ne fumeras plus, ne boiras plus, etc. ?

Faut-il être prudent avec l’hypnose et les addictions ?

Oui ! Cet accompagnement demande généralement à être fait en interdisciplinarité (avec le médecin traitant par exemple).

En effet, se défaire d’une addiction amène non seulement à devoir développer des ressources pour créer une résilience afin de s’en sortir (et surtout ne pas y revenir !) – ce qui est le job de l’hypno-thérapeute – mais peut également entraîner un syndrome de sevrage se manifestant par une série de symptômes physiques et psychologiques qui peuvent être très inconfortables et parfois dangereux !

En conclusion ?

De mon expérience – et une fois que tous les points précédents sont cochés -, l’hypnose est une très bonne approche pour permettre à quelqu’un de se défaire d’une addiction, pour autant que la personne soit motivée et le praticien au clair des enjeux en cours.

Si de plus, l’hypnose est alliée à la PNL (niveaux logiques, sous-modalités, spatialisation et Thérapie par la ChoZif’), à l’EFT et à la Modélisation symbolique, alors elle est encore plus puissante pour permettre à quelqu’un de se défaire d’une addiction !

[1] Néologisme créé pour l’ouvrage « Comment transformer votre vie avec les thérapies courtes », éd. Favre, Lausanne, 2015 – Contraction de « patient » et « actif ».

[2] Cf. Niveaux logiques ou Pyramide de Dilts https://fr.wikipedia.org/wiki/Niveaux_logiques

Neuro-psychopédagogie : Révolutionner l’apprentissage avec l’intelligence émotionnelle

La connexion entre l’intelligence émotionnelle et la réussite académique est indéniable. Comme le souligne David Sander, Professeur de Psychologie à l’Université de Genève, une bonne santé émotionnelle chez les enfants conduit à de meilleures performances scolaires. Les émotions positives influent de manière significative sur la cognition, tandis que la capacité à réguler ses émotions est cruciale pour le succès tant personnel que professionnel. Ces principes fondamentaux sont au cœur de la neuro-psychopédagogie, une approche novatrice qui transforme la manière dont nous apprenons et enseignons.

Car les défis socio-éducatifs et psycho-sociaux commencent dès le primaire. De nombreux enfants éprouvent des difficultés à communiquer avec eux-mêmes et avec les autres, ce qui entraîne une cascade de problèmes comportementaux et relationnels. Les causes sont multiples, allant de l’absence de structure familiale à une exposition excessive aux écrans ou encore à une alimentation inadaptée.

Les conséquences de ces difficultés sont vastes et touchent toutes les parties prenantes. Les enseignants se retrouvent dépassés et démotivés, tandis que les parents se sentent souvent démunis face aux problèmes de leurs enfants. Quant aux enfants, ils naviguent souvent sans repères, submergés par leurs émotions et leur environnement.

L’objectif de la neuro-psychopédagogie est d’offrir aux enseignants et aux professionnels de l’enfance les outils nécessaires pour comprendre le fonctionnement du cerveau et des émotions. En découvrant les leviers du changement à travers des approches simples et humanistes, ils peuvent transformer leur pratique éducative pour répondre aux besoins émotionnels des enfants.

Concrètement, cela se traduit par l’intégration d’outils pédagogiques spécifiques en classe. De la roue des émotions aux techniques de retour au calme, en passant par l’utilisation de métaphores thérapeutiques et la communication non-violente, ces approches favorisent un environnement d’apprentissage sain et inclusif.

En somme, la neuro-psychopédagogie offre une nouvelle perspective sur l’éducation en plaçant l’intelligence émotionnelle au cœur du processus d’apprentissage. En comprenant et en régulant leurs émotions, les enfants acquièrent les compétences nécessaires pour réussir non seulement sur le plan académique, mais aussi dans leur vie personnelle et sociale.

C’est en nous basant sur ces différents concepts que nous avons créé – Delphine Pauchard et moi-même, enseignantes et spécialistes en accompagnement -, un atelier novateur pour les enfants de 5 à 10 ans : « Apprivoise tes émotions ! »

Notre approche, fruit d’une alliance entre savoir-être, savoir-faire et savoir-transmettre, vise à apprendre aux enfants à reconnaître, accueillir, transformer et réguler leurs émotions. Une ingénierie pédagogique pointue basée sur des jeux, bricolages et jeux de rôle et instruments de musique autour des roues des besoins et des émotions, l’hypnose conversationnelle, la PNL spatiale, FasterEFT, la Modélisation symbolique nous a convaincues que les enfants intègrent avec plaisir et facilité ce qui leur est appris et l’appliquent immédiatement et pour longtemps.

À la fin de l’atelier, les enfants transmettent à leurs parents les outils précieux qu’ils ont acquis, ouvrant ainsi la voie à une communication émotionnelle constructive au sein de la famille.

Si vous êtes intéressé.e à animer l’atelier, vous pouvez suivre la journée de formation en Neuro-psychopédagogie en ligne sur cette plateforme ou en présentiel en Suisse (les ateliers ne sont qu’en présentiel) : Vous aurez ainsi tout le nécessaire pour animer cet atelier clés en mains !

Vidéo de présentation

Témoignage d’un parent :

« Avant l’atelier, c’était une petite fille timide, qui vivait plein de choses dans son cœur et sa tête mais qui n’arrivait pas à les saisir ce qui donnait de grosses crises de colère. Au fur et à mesure des ateliers, elle a très vite cherché à se « scanner » elle-même : elle identifiait ses ressentis en temps réel et le soir faisait le récit des émotions vécues durant la journée. Elle a ainsi appris à y être très attentive et cela a été extraordinaire pour elle et lui a permis de communiquer avec nous, parents. Elle utilise facilement MyEFT pour transformer une émotion désagréable et connaît à présent le plaisir de passer d’une émotion désagréable à une émotion plus agréable.  Elle les dédramatise aussi. Elle sait désormais naviguer de l’une à l’autre sans y rester enfermée, et surtout, elle a le pouvoir de choisir ce qu’elle veut en faire. »

 

La Thérapie par la ChoZif’® : Une innovation en thérapies brèves

Quand j’ai créé la Thérapie par la ChoZif’® en 2014, j’étais certaine de son potentiel innovant et thérapeutique mais il fallait que je l’expérimente encore et encore que ce soit lors de mes accompagnements ou dans les démonstrations faites durant les formations, que je découvre comment les participants la pratiquaient entre eux puis enfin comment ils se l’appropriaient : après dix ans, c’est chose faite !

J’ai pu le constater, déjà en 2019, quand j’ai demandé à certains praticiens que j’avais formés de participer à l’ouvrage que j’avais commencé d’écrire[1] : Ils ont été huit enthousiastes à partager leurs expériences ! Et leurs textes ont été si variés et ont montré tant d’évolution chez leurs « patactifs »[2] (et dans un cas, une praticienne a même relaté une auto-ChoZif’ !) que ça en a été un vrai bonheur pour moi.

Après dix ans de pratique et de transmission, je pense qu’il s’agit d’une des formes de thérapies brèves les plus complètes à ce jour. Pourquoi ?

Parce que la Thérapie par la ChoZif’® facilite la vie du praticien

En effet, la scène du petit théâtre de l’inconscient se trouve soit sur une table, soit dans une pièce aux multiples scènes (tables, fauteuils, rebord de fenêtre, sol, terrasse, etc.), les objets symboles sont choisis par le patactif pour le représenter lui et ou son objectif, ses ressources, son entourage, ses obstacles, ses émotions, etc.

Petit à petit, ce théâtre prenant vie sous les yeux – et du patactif et de son accompagnant -, ce dernier comprend beaucoup plus vite et plus facilement qu’avec une autre approche quels sont les enjeux, et ceci au fur et à mesure des emplacements, déplacements, relations, disparitions, apparitions des acteurs que sont les objets symboles. Jusqu’au tomber de rideau où le vide est devenu plein et où le chaos est devenu harmonie !

[1] La Thérapie par la ChoZif’® ou Le petit théâtre de l’inconscient, sous la direction de Cécile Wyler, éd. l’Harmattan, Paris, 2020
[2] Néologisme que j’ai créé pour l’ouvrage écrit en 2015 – Comment transformer votre vie avec les thérapies courtes, éd. Favre, Lausanne – qui provient de la contraction de « patient » et « actif »

Parce que la Thérapie par la ChoZif’® s’adresse à tout le monde

Aux enfants qui aiment le jeu et l’imagination qu’elle leur propose.

Aux adolescents parce qu’ils n’ont que peu besoin d’utiliser des mots et que l’accompagnant n’a que peu à intervenir.

Aux adultes qui sont beaucoup dans le rationnel, cela permet de soulager leur mental et de permettre à leur inconscient et à leur conscience de s’exprimer ; à ceux qui veulent tout expliquer alors qu’ils ont déjà ressassé mille et une fois leur problématique, cela permet de passer outre le langage ; à ceux qui sont beaucoup dans l’émotion et/ou à ceux qui ont vécu des traumas importants, cela leur permet de s’en dissocier tout en les racontant et en en changeant la perspective et/ou le souvenir.

Et pour ceux qui ont de l’hyperactivité ou du haut potentiel, cela va très vite et les fait bouger ce qui permet à leur esprit de se calmer.

Et enfin, la Thérapie par la ChoZif’® est incroyable avec les personnes âgées car elle leur permet de revivre des souvenirs porteurs et d’être dans l’instant présent.

Parce que la Thérapie par la ChoZif’® s’adresse à tous les objectifs, thématiques ou problématiques

Qu’il s’agisse d’objectifs à atteindre, de traumas, de ressources à amplifier, d’obstacles à surmonter, de troubles du comportement alimentaire, d’addictions, de pulsions, de peurs, de phobies, etc. : Tout ceci évolue vite – et parfois de façon spectaculaire !

Parce que la Thérapie par la ChoZif’® peut intégrer toutes les autres thérapies brèves

Qu’il s’agisse d’hypnose (conversationnelle ou avec du signaling, des lévitations, catalepsies, etc.), de l’EFT ou FasterEFT, de la Modélisation symbolique, de la PNL ou quelles que soient les autres spécialisations de l’accompagnant, la TplC® les intègre. Et cela démultiplie les effets déjà puissants de la TplC® en elle-même !

Parce que ses résultats sont impressionnants

Une seule séance de 90 minutes peut déjà supprimer une phobie ou une addiction ou permettre d’atteindre un objectif !

En conclusion, les praticiens et moi-même confirmons ce jour avec fierté que la Thérapie par la ChoZif’® est non seulement une approche innovante mais aussi un outil thérapeutique très puissant ! Alors quel que soit le type d’accompagnant que vous êtes ou quels que soient vos objectifs ou problématiques en tant que patactif : Testez-la ! Elle ne peut qu’être porteuse, et cela dans la simplicité et en étant ludique même sur des problématiques lourdes !

[1] La Thérapie par la ChoZif’® ou Le petit théâtre de l’inconscient, sous la direction de Cécile Wyler, éd. l’Harmattan, Paris, 2020
[1] Néologisme que j’ai créé pour l’ouvrage écrit en 2015 – Comment transformer votre vie avec les thérapies courtes, éd. Favre, Lausanne – qui provient de la contraction de « patient » et « actif »
[1] Source : https://stock.adobe.com/ch_fr/contributor/211199957/cevmemories

Comment la PNL peut améliorer la communication

La PNL – ou Programmation Neurolinguistique – est un ensemble d’outils puissants au service d’une saine et bonne communication avec soi-même et également avec les autres, socialement et professionnellement !

Les schémas de communication

En effet, la PNL s’intéresse d’abord au langage – verbal, non-verbal et para-verbal – et à son importance pour comprendre la structure de pensée de quelqu’un. Ce qui permet de mieux  appréhender la façon dont cette personne perçoit et traite l’information.

C’est ainsi que le langage que nous utilisons reflète la façon dont nous percevons le monde :  Notre culture, nos croyances (ou conditionnements), nos valeurs, nos ressources et également nos limitations.

Nous sommes rarement conscients de la puissance des mots que nous utilisons. Par exemple, un professeur de maths qui dit à un élève « Mais tu es nul ! » en lui rendant son devoir ne réalise pas qu’il aurait mieux fait de dire « Ce devoir n’est pas réussi mais je suis certain que ça ira mieux la prochaine fois ! » ni qu’il a engrangé chez l’enfant la croyance « Je suis nul ! » que celui-ci étendra à tous les contextes et surtout à son identité !

Être attentif au langage de l’autre nous permet aussi détecter quels sont ses schémas de motivation et de prise de décision et ainsi de nous y adapter. Ce qui permet une compréhension mutuelle et la recherche de solutions gagnant-gagnant. Ainsi il n’y a de gestion de conflits ni de résolution de problèmes puisque ceux n’existent plus !

En apprenant ainsi naturellement à nous mettre à la place de l’autre tout en restant à la nôtre, nous développons naturellement de l’empathie et de la flexibilité dans notre manière de communiquer ! Nous devenons ainsi plus ouverts à des points de vue différents et il devient plus facile de s’adapter aux besoins et préférences des autres.

La PNL en psychologie, éducation, profession, et dans les relations sociales

Qu’il s’agisse de systèmes (éducatifs, professionnels, etc.) ou de relations interpersonnelles, la PNL et sa façon de communiquer y ont leur place !

Dans les thérapies brèves, cette communication de qualité  nous permet d’agir – grâce aux mots et avec notre interlocuteur – sur ses pensées, langage et comportements limitants !

Dans l’éducation, les enseignants formés à la PNL savent s’adapter à chaque élève en décryptant ses méthodes d’apprentissage et en remplaçant celles qui ne sont pas adaptées (car trop lentes, inefficaces ou complexes) par des stratégies plus efficaces. Et ceci quelle que soit la matière enseignée : calcul, maths, apprentissage des langues, lecture, écriture, etc. Tout le monde y gagne ainsi en plaisir et en temps !

Dans les entreprises, cela permet aux différentes strates de mieux communiquer – verticalement et horizontalement – de comprendre les besoins, valeurs, capacités et compétences exactes de chacun afin que tous œuvrent à la bonne évolution de l’entreprise – et d’eux-mêmes – dans un cadre respectueux !

Concernant la communication dans la famille, le couple et entre amis, cela nous permet de communiquer de façon plus respectueuse, en comprenant tout de suite ce qui se « cache » derrière les mots (qu’il s’agisse de ressources, de peurs, de valeurs ou de limitations) et en nous y adaptant.

La PNL, les discours politiques, les médias et le neuro-marketing

Par ailleurs, la PNL – par la compréhension des mécanismes du langage, tel que le langage d’influence (ou langage vague) et métaphorique – nous met aussi à l’abri des manipulations quotidiennes, telles que les discours politiques, celles des médias (aggravées de nos jours par les réseaux sociaux et les « fake news »)  ainsi que de celles de la publicité et du marketing.

Marketing qui est devenu Neuro-marketing parce qu’il s’agit de manipuler le comportement des consommateurs à leur insu, en activant des mécanismes profonds et inconscients du cerveau.

À notre époque, connaître ces schémas de langage, de motivation et de prise de décision tels que nous le propose la PNL est  donc indispensable pour ne pas être manipulé !

Finalement, la PNL nous redonne notre liberté de communication et notre liberté d’être avec nous-mêmes et avec les autres, et quel que soit le contexte ou la langue utilisée !

L’importance de l’hypnose dans le développement personnel

Dans cet article, j’aimerais vous faire découvrir en quoi l’hypnose est un formidable outil – et donc une compétence qui s’apprend – au service du développement personnel et de l’évolution de tout un chacun.

En effet, nous avons tous accès à l’infini puits de ressources et également de peurs, blocages, conditionnements et obstacles que peut être notre inconscient. Encore faut-il savoir comment y accéder ! Nous le faisons déjà naturellement à travers nos rêves, notre imagination créative, tout ce qui touche à nos sens et nous émeut, comme la musique, la danse, la peinture. Et la bonne nouvelle est que nous pouvons apprendre à le faire de manière consciente en apprenant à entrer dans cet état modifié – et même amplifié – de conscience, grâce à l’hypnose !

Entrer en état modifié de conscience – « sous hypnose » comme disent les Français et les Québécois – permet d’arriver au plus près de Soi, bien au-delà de notre simple ego et de notre moi, d’aller découvrir notre authenticité et notre grandeur : Comme aurait pu dire C. G. Jung s’il avait connu l’hypnose, c’est avancer sur notre processus d’individuation qui est la quête infinie pour chacun de nous de ce qu’on appelle de nos jours Développement personnel ou Évolution de soi.

L’hypnose, nous pouvons la découvrir auprès d’un hypno-praticien – ou hypno-thérapeute – que nous allons voir quand nous vivons dans un environnement que nous trouvons toxique (un lieu de travail ou des collègues par exemple), quand nous avons un comportement dont nous ne voulons plus (arrêter de fumer, de boire, etc.), quand nous désirons développer des capacités ou des compétences (apprendre une langue, jouer d’un instrument, lire plus rapidement), quand nous avons des valeurs qui sont bafouées « Je déteste l’injustice ! » ou des croyances (conditionnements) qui nous limitent « Je n’y arriverai jamais ! », quand nous avons une identité peu construite « Je suis nulle ! » ou encore quand nous cherchons un sens à notre essence… Toutes ces catégories font partie du développement personnel !

Nous pouvons aussi apprendre l’autohypnose  afin de la pratiquer pour nous endormir le soir, nous préparer à un examen, un entretien, booster notre entraînement sportif, etc. Ainsi, avec l’autohypnose, non seulement nous œuvrons pour notre développement personnel mais nous trouvons ou retrouvons notre liberté, nous redevenons maître de nous-même ! Avec ce désir d’atteindre nos objectifs ou d’être simplement plus authentiques et plus libres !

Et puis, certains d’entre nous auront envie d’aller encore plus loin qu’une « simple » expérimentation, en voulant  comprendre le fonctionnement de l’hypnose, en découvrant son langage (la rhétorique hypnotique, les suggestions, les métaphores), et ses différentes techniques (lévitation, signaling, catalepsie, écriture automatique, etc.)

Dans les formations que je propose, grâce à l’apprentissage de ces quatre facettes : aller voir un expert, apprendre l’autohypnose, comprendre tous les mécanismes de l’hypnose, et accompagner par l’hypnose, c’est à chaque fois pour moi un vrai bonheur de constater comment les participants évoluent et se développent simplement par ce que l’hypnose leur permet de mettre en marche leur potentiel intérieur à grande vitesse en débloquant tous les obstacles (peurs, conditionnements limitants, obstacles intérieurs et extérieurs) et en amplifiant toutes leurs ressources (internes et externes) là où ils en sont à ce moment-là.

L’hypnose nous permet ainsi de nous dés-hypnotiser de nos conditionnements limitants et d’amplifier notre essence d’être…

Finalement, utiliser l’hypnose, c’est (re)découvrir la magie de notre esprit et avancer à grands pas – en toute liberté d’être – sur le chemin de notre développement et de notre évolution !

Débloquer la créativité adolescente grâce à l’hypnose et au clean language : Une exploration avec Cécile Wyler

Dans une récente édition du magazine Le Pendule, Cécile Wyler, enseignante certifiée en hypnose et PNL, dévoile l’impact profond que l’hypnose et le clean language peuvent avoir sur les adolescents confrontés à des défis de vie cruciaux. À travers l’expérience de Gaëlle, une adolescente de 16 ans étouffée par son propre perfectionnisme, cet article explore comment une approche unique combinant hypnose et modélisation symbolique ouvre un espace pour la créativité et la résolution de problèmes.

L’article met en lumière les stratégies thérapeutiques employées, y compris le recours au clean language pour minimiser l’influence du praticien et encourager les jeunes à puiser dans leurs ressources intérieures. L’aventure de Gaëlle, de la pièce aux cartons jusqu’à une forêt symbolique de liberté et d’exploration, illustre comment cette méthodologie peut aider les jeunes à naviguer à travers leurs obstacles intérieurs, en leur offrant des outils pour une meilleure compréhension de soi et un futur plus serein.

Cet article souligne l’importance de l’accompagnement neutre et bienveillant dans le processus de guérison et d’autonomisation des adolescents, tout en ouvrant une fenêtre sur l’efficacité et la puissance de l’hypnose dans le développement personnel et le bien-être des jeunes.

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Un fantastique voyage intérieur

Une participante ALE II nous raconte les voyages intérieurs vécus durant la journée « Hypnose, vies antérieures et postérieures », nous appellerons son binôme « C. » :

« Une première chose qui était, pour moi, très différentes des autres hypnoses vécues étaient les sensations physique et l’impression de ne pas seulement voir des images mais vraiment être dans un personnage d’open world tout en vivant ses émotions et état d’esprit.

Voici mon voyage :

Pour le passage de lumière, je l’ai vu comme un pont de lumière montant vers le haut. Il y avait des ombres humaines de part et d’autre du chemin, très accueillantes, et j’aurais certainement pu communiquer avec elles.

Ensuite je suis arrivée sur une « plateforme transparente », dans le cosmos avec la Terre un peu plus bas. Il y avait des « portes plasma » (porte des étoiles dans Stargate), plusieurs à la suite et un nombre indéfini, je pouvais appeler n’importe laquelle.

  • Jusqu’ici ce sont plutôt des images comme lors des hypnoses habituelles –

Grâce aux suggestions de C., je suis arrivée…

Dans une grotte, il y avait un bébé (je ne pense pas que j’étais le bébé puisque je le voyais entièrement. Mais pas la mère non plus.), en tout cas une sensation physique de stress et d’urgence, il ne fallait vraiment pas faire de bruit, c’était dangereux dehors (bêtes ?)

J’avance dans le temps grâce aux suggestions de mon binôme et je vois une petite fille (environ 5 ans) à l’entrée de la grotte qui regarde dehors. Je suis soulagée, le moment critique est passé, je sais que tout ira bien maintenant.

J’avance encore dans le temps (12 ans a noté C.) et je me vois à la rivière en léger contre-bas de la grotte, au soleil, j’ai les mains dans la glaise et je fabrique « des bols, poteries », je suis la première à faire ça de ma « tribu ».

Je veux être utile au clan et je suis reconnue pour ça, jusqu’au moment où je peux laisser l’empreinte de ma main dans la grotte. Je ressens une immense fierté, c’est un honneur et une reconnaissance. Je sens ma main s’enfoncer dans une espèce de peinture un peux épaisse puis le contact de la pierre froide quand je la pose sur la paroi. Ce jour-là, je deviens aussi femme.

Ensuite j’ai 80 ans (qui est un âge assez incroyable, je ressens que je suis quasi vénérée par les plus jeunes). Je me sens tellement épanouie à ce moment-là. J’ai beaucoup créé, des choses utiles. Je sais alors que ma vie a vraiment compté et que mon savoir va se propager longtemps.

Quand C. demande s’il y a un message, je dis « C’est l’eau qui est importante ».

Autre note, qui m’a beaucoup amusée : Quand je réalise mes « poteries » je me sens à la pointe de la modernité contrairement à l’époque des « anciens ». Je me sens vraiment dans le « temps présent ».

Puis je passe directement une autre de ces portes plasma et me retrouve…

Devant un Bonzaï que je façonne. Légèrement en contrebas, il y a une rue, des passants. Des cerisiers en fleurs et au loin une montagne unique au col enneigé (Mont Fuji ?) Mon maître n’est pas très loin, je ressens sa présence.

(L’époque semble assez ancienne.) Il y a des enfants qui rigolent de mes grosses mains (je suis un homme), je plie un tronc assez épais (environ une dizaine de centimètres), il y a beaucoup d’eau et mes mains glissent facilement sur le tronc pour lui donner une belle courbure vers la gauche.

Je me sens vraiment serein, sûr de moi, ma réussite ne fait aucun doute, je maîtrise cette vie entre mes mains et au-delà la réussite de ma carrière qui va commencer. J’ai une confiance totale en mes capacités. Tout se plie à ma volonté sans même y penser.

La première question de message de C. m’agace, je suis si présent et elle semble si lointaine (ce que je ressens alors à l’intérieur est de la condescendance), en plus la réponse me semble si évidente ! Je m’entends dire « aller toucher les arbres ».

Puis grâce aux suggestions de C., je vois plusieurs images qui s’enchaînent et qui ressemblent d’avantage aux hypnoses habituelles : un bout de plage, le cœur de l’océan, une cité engloutie…

Puis je… on… est dans l’eau. Je me sens immense et les autres sont avec moi. On ne fait qu’un tout en ayant notre individualité. Les sensations sont le bien-être, totalement apaisée, il n’y a pas d’hier ou de demain, rien n’est à faire, rien n’est à prévoir, la plénitude est totale.

Quand C. demande s’il y a un message, c’est moi en 2023 qui entends « Va voir l’océan, n’aie pas peur de la profondeur ! », je ne sais pas qui a dit ça.

En tout cas j’espère que c’est métaphoriquement parlant car la mer, l’océan m’inquiètent, je préfère le plancher des vaches (juste une balade en bateau sur le lac Léman me demande de prendre sur moi) et les profondeurs abyssales me terrorisent, juste de les voir représenté sur une carte je me sens mal, j’en ai des frissons et des sueurs froides. »

«  Merci infiniment pour cette expérience, Cécile qui a sacrément déplié ma carte du monde et le champ des possibles pour mes futurs accompagnements.

Ah oui, j’allais oublier, voici les deux « anomalies » que mon esprit critique a relevé lors du voyage :

– Il n’y avait pas de poterie à la préhistoire quand les hommes vivaient dans les cavernes, c’est apparu bien plus tard.

Je suis allée vérifier sur le net et ai trouvé un article disant que la plus vieille poterie du monde a été trouvé dans la grotte de Xianrendong, en Chine et datant de 30 000 ans pour le record.

– La seconde est de plier une grosse branche de bonzaï plutôt que de la laisser pousser doucement, ce qui me parait impossible.

J’ai cherché un moment mais effectivement, il y a une technique pour assouplir un bonzaï qui consiste à faire tremper l’arbre. (D’où la présence de beaucoup d’eau ?)

Je relève aussi que C. m’a demandé ce que je portais et j’ai répondu « c’est rugueux »,  la sensation était des bandes de tissus rugueux sur ma jambe gauche. J’ai vu lors de mes recherches qu’il faut mettre des bandes de jute sous les liens pour structurer un bonzaï (notamment pour les gros diamètres de branche et/ou fortes courbures). »

Source des images : https://stock.adobe.com/ch_fr/contributor/211199957/cevmemories

Que percevons-nous de la réalité qui nous entoure ?

Platon n’a peut-être pas dit les choses exactement comme cela, mais c’est bien ce qu’il a voulu nous faire comprendre avec son allégorie, il y a plus de 2’500 ans déjà : Enfermés dans une caverne faiblement éclairée, des prisonniers ne voient que des ombres projetées sur les murs, ombres qui deviennent leur réalité… Devenue un concept clé de la philosophie occidentale, cette allégorie met en évidence la différence entre la perception sensible et la réalité intelligible :

Ce concept a évolué à mesure que la technologie et la science ont progressé, ce qui a conduit à en avoir une compréhension plus complexe mais toujours autant d’actualité.

En psychologie tout particulièrement, elle illustre le concept de la réalité objective (perception) vs la réalité subjective (interprétation et compréhension de notre environnement) ce que l’on peut appliquer grâce aux techniques PNL qui permettent de faire évoluer nos cartes du monde (représentations mentales).

Cette allégorie explique aussi le fonctionnement de l’hypnose : ou comment les suggestions hypnotiques peuvent influencer la perception et la réalité subjective de l’individu.

Comme je l’explique régulièrement en psychopédagogie et en formation, nous ne pouvons pas modifier nos expériences (« nos réalités ») mais nous avons le pouvoir d’en modifier la  perception que l’on en a. Et là se trouve notre réelle liberté ! J



C’est un concept qui est également utile de façon plus vaste : par exemple, pour comprendre le fonctionnement des gouvernements (les dirigeants politiques pouvant avoir une vision limitée de la réalité et des enjeux mondiaux, leurs décisions pouvant être basées sur des apparences superficielles plutôt que sur une compréhension complète des faits), des réseaux sociaux (les algorithmes qui les sous-tendent pouvant filtrer les informations que nous recevons, créant ainsi des bulles de filtrage qui renforcent nos préjugés et limitent notre compréhension du monde), jusqu’à l’intelligence artificielle (les algorithmes pouvant prendre des décisions basées sur des données sont invisibles à l’œil humain, et leur fonctionnement pouvant être opaque et difficile à comprendre, et enfin des médias (pouvant donner une image déformée de la réalité en sélectionnant certaines informations et en utilisant des techniques de manipulation de l’opinion publique) :

 

Rajoutez ici en arrière-plan les gouvernements, les « fake news », le GAFA et autres multinationales ainsi que les lobbies qui nourrissent notre « feed » d’informations au quotidien…

Finalement, l’allégorie de la Caverne de Platon est une métaphore puissante qui nous permet d’explorer les limites de notre capacité à percevoir la réalité ainsi que la compréhension que l’on a de cette réalité.

Plus nous devenons conscients de nos limites sensorielles et de nos conditionnements mentaux, et plus nous devenons libres ! Bonne nouvelle, n’est-ce pas ?!

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